Objectif : Élaborer une stratégie et un plan de mise en œuvre pour la signature del’accord de partenariat de co-investissement entre Roche et le gouvernement du Sénégal et l’obtention d’un financement pour l’exécution de l’accord de partenariat contre le cancer au Sénégal. Les rôles de JTC Consulting, business & Events sont les suivants : Soutenir les collègues de Roche dans la cartographie et l’engagement  des acteurs politiques clés, des décideurs et des influenceurs impliqués dans le secteur de la santé publique. Contexte: Les rôles de JTC Consulting, business & Events sont de :1-Soutenir les collègues de Roche dans la cartographie et l’engagement des acteurs politiques clés, des décideurs et des influenceurs impliqués dans le secteur de la santé publique.2-Préparer et fournir un soutien pour engager les décideurs clés : -Ministère de la Santé et de l’Action Sociale et Unité Cadre PPP, -Ministère des Finances et du Budget et Autorité de Régulation des Marchés Publics, -Ministère de la Planification Economique et de la Coopération, -Ministère des Forces Armées, -Et Principales organisations de développement et de bailleurs de fonds impliquées au Sénégal.3-Aider les collègues de Roche à comprendre les différents processus et dynamiques impliqués dans la mise en place de partenariats public-privé : -Les principales parties prenantes à impliquer, les étapes clés à franchir et les principaux jalons à atteindre.4-Aider les collègues de Roche à comprendre clairement le circuit de financement public du Sénégal pour les cadres de PPP et à naviguer efficacement dans ce circuit pour obtenir le financement de l’accord de partenariat de co-investissement avec le gouvernement du Sénégal.5-Soutenir Roche tout au long du processus d’engagement des principales parties prenantes jusqu’à la signature de l’accord de partenariat de co-investissement avec le gouvernement du Sénégal et l’obtention du financement nécessaire à l’exécution de l’accord de partenariat. KPI : -Cartographie documentée des principales parties prenantes, du cadre et des étapes du processus PPP et du circuit de financement.Obtenir une audience avec le ministre de la santé avant l’atelier de co-création prévu.-Obtenir une déclaration d’intention de partenariat avec Roche à la clôture de l’atelier de co-création (expression d’intérêt signée entre le Ministère de la Santé et de l’Action Sociale et Roche Côte d’Ivoire SARL).Cadre de partenariat de co-investissement convenu entre le Ministère de la Santé/Directeur de la Lutte contre les Maladies et l’Unité Cadre PPP (avec la faisabilité et les gains du gouvernement clairement articulés et convenus).-Approbation et non-objection au PPP proposé par le ministère de l’économie, de la planification et de la coopération et par l’autorité de régulation des marchés publics. -Signature de l’accord de partenariat de co-investissement entre le gouvernement du Sénégal (ministère de la santé et de l’action sociale, ministère des finances et du budget, ministère de l’économie, de la planification et de la coopération) et F Hoffmann La Roche. -Obtention du financement pour l’exécution de l’accord et l’exécution du paiement de la première année.-Signature d’un accord de partenariat de co-investissement entre le Ministère des Forces Armées ou des Autorités Confessionnelles et F Hoffmann La Roche.

Dans l’optique de renforcer les efforts de lutte contre le cancer en Côte D’ivoire, plusieurs acteurs clés de l’écosystème sanitaire ont embarqué dans une aventure ambitieuse, à travers un programme dénommé Innov’Keneya Innov’Keneya est un écosystème d’innovation en matière de soins de santé, conçu pour relever et créer des solutions aux défis les plus pressants autour du parcours des patients atteints de cancer en Côte d’ivoire. JTC Consulting Business & Events en tant que collaborateur du programme Innov’ Keneya du Start up Impact Hub à: 1.Partager son expertise dans la compréhension des défis de l’écosystème des soins de santéMaîtriser pleinement le processus d’innovation et le mettre en pratique pendant le programme et au-delàFournir ou contribuer à la recherche de sources de financement pour les solutions qui seront développées et mise en œuvrePermettre l’accès à leur réseau de soins de santéPromouvoir et défendre, au sein de leur organisation et auprès des médias, les chances de succès du programme et des solutions qui en émergeront.2. Obtenir : Que retirent les collaborateurs du programme ? Le privilège d’être une partie essentielle du processus d’OPEN INNOVATION visant à améliorer le système de santé en Côte d’Ivoire.L’opportunité de participer à un programme, sponsorisé à 100% par Roche, pour développer votre capacité à innover et à relever des défis complexes dans le domaine de la santé.L’accès à un apprentissage pratique et expérientiel approfondi – DEEP LEARNING & DESIGN THINKING – en matière d’innovation centrée sur l’humain pour relever les plus grands défis de santé en Côte d’Ivoire.L’opportunité d’être encadré par des experts internationaux en matière de conception de solutions et d’innovation.Faire partie d’une communauté mondiale d’innovateurs dans le domaine de la santé.

l. Analyse de la Situation :Le fossé entre femmes et hommes reste un obstacle majeur pour parvenir à une transformation numérique inclusive, selon Paola Cervo, coordinatrice du projet Digital for Development (D4D) Hub Union africaine-Union européenne (UA-UE). « Réduire la fracture numérique entre les sexes est un défi partagé en Afrique et en Europe », dit-elle.À titre d’illustration, le secteur du numérique en Afrique est en plein essor. Toutefois, malgré les avancées notables, les femmes africaines ne semblent pas bénéficier de ces développements sur un même pied d’égalité. Un des derniers rapports de Afrobarometer tire la sonnette d’alarme : l’écart entre les sexes pourrait, en fait, s’élargir.Une enquête menée dans 34 pays africains montre que les femmes sont moins susceptibles que les hommes d’utiliser un téléphone portable tous les jours, d’avoir des téléphones et ordinateurs “high quality”, téléphone avec accès à Internet , d’accéder régulièrement à Internet, ou de suivre les nouvelles à travers Internet ou les médias sociaux.Le cadre en Europe n’est pas plus prometteur, explique Paola Cervo. Selon un rapport de la commission des droits des femmes et de l’égalité des genres du Parlement européen, les femmes ne représentent que 17 % de l’ensemble des étudiants en TIC (Technologies de l’Information et de la Communication) dans l’Union européenne. On a en fait remonter la cause aux stéréotypes sexistes qui influencent fortement les choix des matières et déterminent que moins de 3% des adolescentes européennes manifestent un intérêt pour travailler dans le domaine des TIC.II. Objectif Organiser une conférence débat autour du thème :« Comment l’usage du numérique impacte-t-il votre entreprise et comment s’assurer qu’il devienne un outil au service de l’inclusion ?».Ce dernier étant un sous-thème de celui de la journée de la femme 2023: « Pour un monde digital inclusif : innovation et technologie pour l’égalité des femmes ».Des intervenants partageront leur expérience et leur implication dans leur démarche à l’inclusion.Permettre aux participants de débattre et de confronter les difficultés dans leur cadre professionnel.Différents sous thèmes peuvent être abordés:Comment faire la différence sur un marché qui se digitalise?Est-ce que l’inclusion est au cœur des stratégies de l’entreprise?La maturité du numérique dans mon entreprise permet-elle ou facilite-t-elle cette inclusion?Comment proposer des parcours numériques qui permettent à tous les usagers dans l’entreprise d’y prendre part?Qu’est ce que les labels du genre? Comment peuvent-ils aider à l’inclusion dans l’entreprise?Le télétravail s’adresse -t-il en majorité aux femmes?L’inclusion du genre impacte-t-il sur la profitabilité de l’entreprise?Cette liste de questions n’est pas exhaustive.Faire de cette conférence également une plateforme d’échanges inter-professionnels (B2B). III. Approche MéthodologiqueDeux objectifs :Nous avions pu identifier au sein de l’entreprise, où le numérique pourrait avoir un impact positif et favoriser l’inclusion en son sein, et comment l’appliquer.Ouvrir une conférence débat pour aider les employés à se questionner “pourquoi une telle disparité?” . Et quelles méthodologies pourraient être mises en place pour que le numérique devienne l’outil de l’inclusion au sein de l’entreprise.S’appuyer sur l’expérience d’intervenants (DG, DRH, chef d’entreprises…) et experts en numérique pour animer cette conférence.IV. Réalisation 60 participants issus de diverses entreprises .Chaque intervenant s étant présenté en début de conférence 5-10 minutes (possibilité de faire un diaporama) .La particularité de cette conférence est d’avoir une réelle interactivité entre participants et intervenants. Cette interactivité a permis des échanges rapides et constructifs.

Les rideaux sont tombés à l’atelier de planification et de concertation avec les parties prenantes pour les soins de santé complets de qualité contre le cancer en République Démocratique du Congo.C’est le Vice-ministre à la santé, Albert Mpeti, qui a clôturé ces assises à Béatrice Hôtel dans la commune de la Gombe. Organisé par le ministère de la santé et Roche, cet atelier avait trois objectifs majeurs, à savoir : mettre en place un programme national de lutte contre le cancer d’ici 2021, élargir la couverture de formulaire local des médicaments 2022 et, enfin, sensibiliser les décideurs aux soins liés au cancer d’ici 2024.Pendant quatre jours, les participants ont réfléchi sur les voies et moyens à mettre en place pour arriver non seulement à stabiliser le cancer, mais aussi et surtout à sensibiliser un grand nombre de la population sur cette maladie. Cet atelier, faut-il le dire, est organisé dans le cadre d’un partenariat public-privé entre le gouvernement de la RDC et Roche pour la lutte contre le cancer. Un autre objectif poursuivi par ces travaux, c’est le souci d’avoir des résultats concrets dans la collaboration synergique pour donner l’espoir aux familles affligés par le cancer. Pour les organisateurs et les participants à ces assises, le cancer ne sera plus une fatalité, mais une maladie chronique susceptible d’être maitrisée.Les défis à relever Pendant quatre jours, les participants ont effectué des descentes sur terrain pour palper du doigt les réalités dans des hôpitaux de la ville-province de Kinshasa. Ils se sont séparés en groupe pour couvrir tous les hôpitaux de la capitale. Plusieurs défis restent à relever, entre autres, le diagnostic tardif ; les structures de santé non optimales et non centralisées ; l’insuffisance des moyens thérapeutiques ; ignorance de la maladie par les communautés de la Police nationale congolaise et des forces armées de la République ; absence des moyens de base pour la prise en charge du cancer du côté de la PNC ; absence d’une stratégie de gestion du cancer du côté des communautés de la PNC et FARDC. Il y a également le manque d’organisation des services d’oncologies ; manque de formation du personnel et la mise à jour de leur formation sur la cancérologie ; manque de sensibilisation de la population sur le cancer ; manque de prise en charge par l’Etat congolais. Sans ambages, les participants à cet atelier ont plaidé pour le renforcement des compétences dans la prise en charge du cancer et la formalisation de la chaine d’approvisionnement des médicaments contre le cancer.Des pistes de solution et recommandationsAu ministère de la santé, les participants recommandent de mettre en place les dispositions légales créant le « Centre National Contre le Cancer » et son comité exécutif fonctionnel comme unité de coordination de la lutte ; assurer la disponibilité des équipements des services impliqués dans le diagnostic précoce et précis des cancers ; faciliter l’importation des médicaments essentiels et innovants contre les cancers à travers différents documents d’exonération ; mobiliser les ressources nécessaires pour la lutte contre les cancers ; assurer la collaboration intersectorielle devant rendre la lutte contre les cancers efficace ; et exécuter le plan de 90 jours.Au Partenaire Roche, appuyer la coordination du Centre National contre le cancer ; rendre disponible les équipements des services impliqués dans le diagnostic précoce et précis des cancers ; rendre disponible les médicaments essentiels et innovants contre les cancers ; assurer la formation des prestataires ; appuyer l’écriture du Plan stratégique de lutte contre les cancers et exécuter le plan de 90 jours. Aux membres participants de cet atelier de créer un réseau whatsapp pour le partage rapide d’information ; rester impliquer dans les institutions respectives comme ambassadeur de lutte contre les cancers ; exécuter le plan de 90 jours. La mise en place d’un comité d’organisation pour travailler sur un plan de sensibilisation au sujet du cancer reste le souci majeur de tous les participants à ces assises.Le satisfecit de Mpeti AlbertLe vice-ministre à la santé se dit satisfait des résolutions issues de ces assises. Albert Mpeti n’est pas allé par le dos de la cuillère pour vanter les mérites intellectuels des participants qui ont produit un travail de qualité. ‘’Je suis très honoré et très fier du travail que vous avez produit. Nous avons une grande ressource : les congolais. Nous devons avoir confiance en nous. Vous avez produit un travail de qualité. C’est une grande révolution pour notre pays. Au nom du Ministre de la santé, je déclare clos l’atelier sur la lutte contre le cancer’’.